Bien des gens reconnaissent que la violence est omniprésente et largement acceptée dans notre société. Elle affecte nos vies et celles de nos proches. Mais peu acceptent d’affirmer qu’elle est présente dans leur milieu de vie immédiat.
Réalisé en collaboration avec une militante étudiante, cette publication se veut un guide de réflexion et d'inspiration militante qui se nourrit du mouvement social des derniers mois.
La société québécoise a commencé à se préoccuper davantage de la violence chez les jeunes depuis quelques années. Cet article vise à poser une réflexion plus spécifique sur la violence des jeunes à l’école en montrant qu’elle constituerait une réponse à d’autres violences qu’ils vivent dans ce milieu et dans la société…
Le corps de la jeune Marjorie Raymond est en terre. Comme deux autres personnes par jour au Québec, la jeune fille s’est suicidée et sa lettre explique son geste par l’intimidation qu’elle a subie à l’école. Nous devons garder en mémoire qu’il n’y a jamais qu’une seule explication au phénomène du suicide, et c’est vrai pour toutes les formes de violence, qu’elles soient contre soi-même ou contre l’autre.
« La violence n'entraîne que souffrance pour ceux et celles qui souffrent déjà… plutôt que de démasquer la brutalité de l'oppresseur, elle ne fait que la justifier. » — César Chavez
Le 1er septembre 2008, quelques centaines de manifestants et manifestantes de partout aux États-Unis ont tenté d'empêcher les délégués au Congrès du Parti Républicain de se rendre au Centre Excel, dans le quartier des affaires de Saint Paul, Minnesota, où on allait couronner le candidat à la présidence John McCain. "Crash the Convention" (double sens que l'on pourrait rendre par "Invitons-nous pour que dérape le congrès"), tel était le mot d'ordre de la journée.
Après le tour du monde à pied, il veut un "ministère de la paix".
afp.com
MONTREAL – Un Canadien quinquagénaire qui a bouclé dimanche à Montréal son tour du monde fait à pied en onze ans, a annoncé qu'il se donnait un nouvel objectif: la création à Ottawa d'un "ministère de la Paix".
Ayant accueilli avec émotion hommages, félicitations et cadeaux, Jean Béliveau a déclaré que sa "vraie mission" commençait maintenant et qu'il chercherait à promouvoir un "vrai ministère de la Paix" au sein du gouvernement fédéral du Canada, et aussi dans d'autres pays.