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démocratie

Élections générales 2007 : impunité et démocratie au Guatemala

    Les élections générales au Guatemala, prévues pour le 9 septembre 2007, suscitent la controverse. Au sein de la vingtaine de partis politiques engagés dans la course électorale, il y a d'un côté Rigoberta Menchu Tum, lauréate du prix Nobel de la paix de 1992, qui se présente comme candidate à la présidence à la tête du premier parti politique autochtone du pays, l'alliance Encuentro por Guatemala (EG-Winaq). D'un autre côté, le général José Efraín Ríos Montt, ex-dictateur de 1982 à 1983, se présente au sein du Front républicain guatémaltèque (FRG) pour un poste de député au Congrès alors qu’il fait face à des accusations de génocide et qu’un mandat d’arrêt international pèse contre lui.

     

    Kyi, Aung San Suu

      Droits humains et démocratie.

      Prix Nobel de la paix 1991, 

       

      Birmanie, 

       

      Née le 19 juin 1945 à Rangoon.

      ACTE 2 : La chute du gouvernement pro-syrien

        Effectivement, face au défi du peuple, le gouvernement d'Omar Karamé démissionne le 28 février: « La Place des Martyrs fait tomber le gouvernement, titre un grand journal, mais cette victoire … est le début d'une sortie de crise et non la fin de la crise. »

        UNE SITUATION POLITIQUE PRÉOCCUPANTE

          Guatemala, l'espoir déçu.

          Par Florence Ruel St-Pierre

          La situation politique du Guatemala semblait prendre un nouveau
          tournant démocratique avec l'arrivée au pouvoir d'Oscar Berger (GANA)
          qui a remporté, avec 54 % des suffrages, le scrutin présidentiel du 28
          décembre 2004. Le soulagement général de voir écarté de la présidence
          Efraín Ríos Montt (FRG) fut néanmoins assombri par une série
          d'évènements qui témoignent de la situation encore fragile du Guatemala.