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Centre pour l’action non-violente

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Le CENAC a pour but de promouvoir la non-violence en Suisse romande.

La non-violence, c’est d’abord le respect de soi, d’autrui et de l’environnement. C’est aussi ne pas rester les bras croisés devant les injustices.

Le CENAC illustre la non-violence par la formule « Ni hérisson, ni paillasson », ne pas blesser, ne pas se laisser piétiner.

HISTORIQUE

Une association de mouvance gandhienne créée en 1968.

Origines de l’association.

La création du Centre aurait été impulsée par le Mouvement International de la Réconciliation (MIR), en particulier par Michel Grenier. Ce dernier a été le premier secrétaire du Centre Martin Luther King (CMLK) – devenu Centre pour l’action non-violente (CENAC) en 1994. Les Amis de l’Arche de Lanza del Vasto, les Quakers, et l’Internationale des Résistants à la Guerre (IRG) ont dans tous les cas contribué à la constitution de l’association en 1968.L’idée de donner au Centre le nom du pasteur noir Martin Luther King a germé au cours d’une marche silencieuse commémorant sa mort. Peu de temps auparavant plusieurs personnes s’étaient réunies en vue de créer les base d’un centre pour promouvoir la non-violence (notamment Luc Francey, Daniel Schori, Marc Guignard, Daniel Pache, Georges Kobi et André Jufer).En l’absence de l’assassinat Luther King, l’association aurait aussi pu prendre, dès sa création, le nom de Centre gandhien ou Centre pour la non-violence.Dans un premier temps, l’objection de conscience vis-à-vis de l’armée constitue le centre d’intérêt du CMLK/CENAC :

  • Campagne de refus des impôts militaires
  • Animation de groupes d’objecteurs
  • Initiative contre les exportations d’armes
Mouvement "No Bunker" du CENAC, 2015
Mouvement « No Bunker » du CENAC, 2015

C’est à la fin des années septantes que l’antimilitarisme a peu à peu été abandonné, au profit d’une non-violence «multidirectionnelle» : le Centre de documentation prend véritablement forme et la formation à la non-violence devient centrale.

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