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Outils de lutte

Éduquer dans la paix

    Nous espérons qu’en grandissant dans la paix, les enfants d’aujourd’hui deviendront des adultes pleins de compassion et moins tolérant aux violences envers l’autre.  Bien que la question du recours aux châtiments corporels sur les enfants ne soit pas encore un acte criminel au Canada, plusieurs lois provinciales contraignent cette pratique de façon stricte.  Nous croyons qu'une telle pratique est contraire aux aspirations de construction de la paix dans une famille.

    Les enfants, les médias et la violence

      Dans notre culture traditionnelle, comme dans bien d’autres, on enseigne surtout des valeurs aux enfants par le biais des histoires. Toutefois, dans notre réalité culturelle moderne, les moyens de transmettre les histoires se sont multipliés et ce sont la télévision et les jeux électroniques qui racontent une portion croissante de ces histoires. Trop de parents cèdent cette responsabilité éducative trop facilement. 

      Vos enfants et les armes à feu

        Les décès dus aux armes à feu (meurtres, suicides et morts accidentelles) se classent au troisième rang des principales causes de décès chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans au Canada, après les accidents de voiture et les suicides par d’autres moyens. Les armes à feu tuent plus d’enfants que le cancer ou les noyades, les chutes et les incendies réunis.

        Les enfants et les jouets de guerre

          Encourager les jeux pacifiques.

           

          Les jouets et les comportements violents.

          Les jouets que l’on donnent aux enfants transmettent des messages sur notre vision.  Par ce don, le parent exprime ses valeurs, et ce sont en parti par nos valeurs se développent notre enfant. «Les jouets de guerre», sont des jouets qui servent extérioriser les fantasmes qui consistent à tuer ou à blesser.

          La sécurité: un enjeu communautaire

            Divers enjeux de sécurité dans les écoles ont fait les manchettes des médias au cours des derniers mois. Ils révèlent le danger de laisser la sécurité entre les mains des services « de l’ordre » ou de l’armée ainsi que l’espoir béat fondé sur l’efficacité des forces punitives.