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Enjeux de société

La commémoration d’Hiroshima à Montréal

    Dès 1980 l'organisme Project Ploughshares de Montréal et l'Union des pacifistes du Québec s'intéressent à la commémoration de la destruction d'Hiroshima. Mais c'est véritablement en janvier 1982 que commence l'histoire de cette tradition montréalaise qui commémore le bombardement atomique d'Hiroshima le 6 août 1945. La guerre froide est alors à son apogée et les États-Unis font pression sur les alliés européens pour déployer des missiles nucléaires aux frontières de l'URSS.

    Délégation libanaise à Montréal

      Une délégation de quatre Libanais a visité
      Montréal du 27 au 30 avril 2005 à l'invitation de Initiatives et
      Changement et du Cercle inter-religieux de Montréal auxquels
      collaboraient le Centre d'oecuménisme canadien et le Centre de
      ressources sur la non-violence.

      Au Liban, de 1975 à 1990, une guerre fratricide fit plus de 100 000
      morts et deux fois plus de blessés. Durant cette période, deux des
      invités, Mustapha Chehab et Assaad Chaftari, l'un musulman et l'autre
      chrétien, étaient responsables de milices. Ils n'ont pas oublié leur
      passé d'hommes de guerre mais ils reconnaissent leurs torts.
      Aujourd'hui, ils demandent publiquement pardon et deviennent des
      éducateurs de paix tant dans leur pays que sur la scène internationale.

      Nagasaki et Montréal

        Ce soir, à 22h02, ayez une petite pensée
        pour les 74 000 qui ont été tuées instantanément et la quantité
        équivalente de blessés à Nagasaki. Le 9 août 1945, le bombardier
        américain B-29 Bockscar a largué une seconde bombe atomique sur la
        ville nippone de Nagasaki à 11h02 heure locale. Il est faux de
        prétendre que Nagasaki a été visée à parce que la ville avait fabriqué
        les torpilles utilisées à Pearl Harbour, Nagasaki a été visée seulement
        après que les pilotes eurent déviés de la cible prévue, Kokura,
        obscurcie par les nuages.

        Le Canada et la bombe d’Hiroshima

          Commémorer Hiroshima, un devoir citoyen.

          Ce printemps, à New-York, les discussions sur le traité de
          non-prolifération des armes atomiques furent un échec. Malgré ses
          prétentions, le Canada a sa très grande part de responsabilité quant à
          la prolifération des armes atomiques. En tant que citoyen du monde,
          canadien, québécois et particulièrement montréalais, nous avons le
          devoir de nous rappeler d'Hiroshima, et de participer activement à la
          commémoration de la première utilisation d'une arme atomique sur des
          populations civiles. Hiroshima a été un acte d'intimidation politique
          auquel les dirigeants, l'industrie et les scientifiques canadiens,
          principalement à partir de Montréal et de Québec, ont pris une part
          active.

          Nhat Hanh, Thich

            Lutte contre la guerre du Viêtnam

             

            Viêtnam et France

            Né au Viêtnam en 1926

             

            Le Canada s’en va-t-en guerre!

              Le 14 juillet 2005

              Communiqué de presse

              L'envoi de troupes à Kandahar en Afghanistan.

              Au cours des derniers mois le gouvernement Martin se promenait sur
              toutes les tribunes internationales pour promouvoir la responsabilité
              ou le devoir de protéger, la responsabilité d'intervenir dans les
              conflits internationaux pour protéger les populations civiles. Les
              canadiens avaient en tête le Rwanda, le Soudan et Haiti, des pays
              vivant des crises humanitaires issues de graves conflits où il serait
              nécessaire de s'atteler à la tâche de prévention des conflits. Les
              canadiens soupçonnaient l'élan militariste derrière le discours, mais
              souhaitaient l'avènement d'une approche d'intervention préventive
              prioritairement. Erreur!…

              UNE SITUATION POLITIQUE PRÉOCCUPANTE

                Guatemala, l'espoir déçu.

                Par Florence Ruel St-Pierre

                La situation politique du Guatemala semblait prendre un nouveau
                tournant démocratique avec l'arrivée au pouvoir d'Oscar Berger (GANA)
                qui a remporté, avec 54 % des suffrages, le scrutin présidentiel du 28
                décembre 2004. Le soulagement général de voir écarté de la présidence
                Efraín Ríos Montt (FRG) fut néanmoins assombri par une série
                d'évènements qui témoignent de la situation encore fragile du Guatemala.

                LA « RÉVOLUTION ORANGE »

                  Au cours de novembre et décembre 2004, la population d'origine ukrainienne de la capitale d'Ukraine a commémoré à sa façon le quinzième anniversaire de la Chute du mur de Berlin. Dans le plus pur respect de la tradition des cinquante dernières années dans les pays d'Europe de l'Est, elle a défié sans violence le pouvoir pour contester la validité de l'élection à la présidence. Dès la diffusion des résultats du premier tour de scrutin, alors qu'il devenait évident que l'élection était frauduleuse, plus de 50 000 partisans de Victor Iouchtchenko, candidat perdant, ont envahi les rues de Kiev.

                  « Haïti et développement »

                    Le 26 janvier dernier s'est tenue la
                    conférence-bénéfice Haïti et développement organisée par le Comité
                    québécois pour les droits des travailleurs haïtiens en République
                    Dominicaine.