Bonafini, Hebe de
Défense des personnes disparues durant la dictature
Argentine,
Née le 4 décembre 1928 à Buenos Aires.
Défense des personnes disparues durant la dictature
Argentine,
Née le 4 décembre 1928 à Buenos Aires.
Mouvement d'opposition non violent à une dictature.
Phillipines
Née le 25 janvier 1933 à Manille
Article tiré du site web http://www.irenees.net/ Ces expressions sont des oxymores, figures de style qui consiste à assembler deux mots contradictoires pour leur donner plus de force ou pour faire comprendre une idée particulière. Nous les utilisons comme des images pour faire… Lire la suite »Guerre par actions civiles – Guerre non violente
Septembre 2005
Appel à la société québécoise et canadienne:
Le 24 septembre 2005, une grande manifestation s'est déroulé à Washington pour demander que les États-unis mettent fin à l'occupation de l'Irak et en retirent immédiatement leurs troupes. Nous voulons exprimer notre entière solidarité avec les forces sociales étasuniennes qui s'opposent ainsi à la guerre d'occupation en Irak.
Une délégation de quatre Libanais a visité
Montréal du 27 au 30 avril 2005 à l'invitation de Initiatives et
Changement et du Cercle inter-religieux de Montréal auxquels
collaboraient le Centre d'oecuménisme canadien et le Centre de
ressources sur la non-violence.
Au Liban, de 1975 à 1990, une guerre fratricide fit plus de 100 000
morts et deux fois plus de blessés. Durant cette période, deux des
invités, Mustapha Chehab et Assaad Chaftari, l'un musulman et l'autre
chrétien, étaient responsables de milices. Ils n'ont pas oublié leur
passé d'hommes de guerre mais ils reconnaissent leurs torts.
Aujourd'hui, ils demandent publiquement pardon et deviennent des
éducateurs de paix tant dans leur pays que sur la scène internationale.
Ce texte sur les événements du Liban a été publié par le journaliste libanais Samir Kassir dans la revue « Égypte ». Journaliste au quotidien An Nahar, il avait publié en 2004 ses considérations sur le monde arabe. Il a été assassiné lors d'un attentat à Beyrouth le 2 juin dernier.
Dès 1980 l'organisme Project Ploughshares de Montréal et l'Union des pacifistes du Québec s'intéressent à la commémoration de la destruction d'Hiroshima. Mais c'est véritablement en janvier 1982 que commence l'histoire de cette tradition montréalaise qui commémore le bombardement atomique d'Hiroshima le 6 août 1945. La guerre froide est alors à son apogée et les États-Unis font pression sur les alliés européens pour déployer des missiles nucléaires aux frontières de l'URSS.
Les Tibétains et leurs sympathisants ont
profité de l'assemblée générale annuelle de la multinationale
québécoise Bombardier Inc. à Montréal, le 7 juin dernier, pour
présenter leur point de vue aux dirigeants et actionnaires. La
participation de Bombardier au chemin de fer chinois vers le Tibet
signifie, pour eux, un appui direct au gouvernement dans son occupation
du Tibet.
Ce soir, à 22h02, ayez une petite pensée
pour les 74 000 qui ont été tuées instantanément et la quantité
équivalente de blessés à Nagasaki. Le 9 août 1945, le bombardier
américain B-29 Bockscar a largué une seconde bombe atomique sur la
ville nippone de Nagasaki à 11h02 heure locale. Il est faux de
prétendre que Nagasaki a été visée à parce que la ville avait fabriqué
les torpilles utilisées à Pearl Harbour, Nagasaki a été visée seulement
après que les pilotes eurent déviés de la cible prévue, Kokura,
obscurcie par les nuages.
Commémorer Hiroshima, un devoir citoyen.
Ce printemps, à New-York, les discussions sur le traité de
non-prolifération des armes atomiques furent un échec. Malgré ses
prétentions, le Canada a sa très grande part de responsabilité quant à
la prolifération des armes atomiques. En tant que citoyen du monde,
canadien, québécois et particulièrement montréalais, nous avons le
devoir de nous rappeler d'Hiroshima, et de participer activement à la
commémoration de la première utilisation d'une arme atomique sur des
populations civiles. Hiroshima a été un acte d'intimidation politique
auquel les dirigeants, l'industrie et les scientifiques canadiens,
principalement à partir de Montréal et de Québec, ont pris une part
active.