Certaines situations de violence frappent présentement l’imaginaire et font réagir. Des jeunes désespérés par une intimidation qui ne cesse pas, laissent une trace publique dans le cyberespace et commettent un suicide. Des parents désespérés ont l’impression d’être face au néant; et commettent des gestes de violence irréparables dans le cadre de drames familiaux. Des enfants, des personnes âgées ou handicapées, vulnérables sont laissées à elles mêmes, négligées par leur famille ou des agences irresponsables. Le citoyen reçoit l’information, s’indigne mais se sent impuissant. Que peut-on faire? Y’a-t-il des pistes de solution?
Le passage du désarmement, au transarmement et la nécessité de moderniser l’action face aux conflits internationaux.
12 organismes de paix, un projet
Les organismes participant à l'initiative « Outils de paix » travaillent depuis plus d'un an au développement d'une offre de service commune et complémentaire. Un projet pilote d'accompagnement préventif est déjà en développement dans le cadre d’une collaboration avec l’organisme de service civile Katimavik. Cette approche d'intervention citoyenne appliquée au milieu communautaire sera unique et permettra de raffiner le travail d'intervention commun des organismes dans l’application des compétences de paix. Des contacts ont été établis avec des organismes communautaires intéressés par l’approche et des services d’assistance communautaire déjà établis pour évaluer les possibilités de greffer aux services existants l’approche d’accompagnement.
Deux sommets, une imposante barricade, une facture de 1 milliard et plus, à laquelle s'ajoutera la facture de compensation pour les dommages qui équivaudra certainement celle de Québec, soit 2 milliards. Allons-nous atteindre le sommet des abus dans les dépenses en sécurité ?
Le numéro spécial du magazine Vents croisés sur le recrutement militaire dans les écoles vient tout juste d’être lancé. La revue présente une série d’articles sur l’enjeu du recrutement à l’école question qui suscite de plus en plus de préoccupation de la part des parents d'élèves du primaire et secondaire en plus des étudiants du niveau post-secondaire.
Dès sa création en 1987, la prévention de la violence en milieu jeunesse a été une préoccupation majeure du Centre de ressources sur la non-violence. L’organisme a toujours agi comme lieu de vigie sur les questions de violence sociale et s’est très rapidement penché sur la gestion saine des conflits interpersonnels et sur la prévention de la violence en milieu jeunesse.
Le Centre de ressources sur la non-violence joint sa voix à celle de la campagne étudiante "Opération Objection" pour dénoncer l'utilisation du mouvement des cadets comme moyen d'endoctrinement militaire des jeunes.